ou donne envie aux enfants de "posséder" un animal ( dans un autre genre: Harry Potter et les chouettes/ Nemo et poissons marins) . pour "aimer" rien de tel que les reportages BBC/ le terrain.
Justement, le problème vient peut être en partie de là. Les reportages télé de mon époque n'étaient pas aussi poussés qu'aujourd'hui. Je me souviens de " la vie des animaux" de F Rossif. C'était chouette, on aimait bien, mais ça s'arrêtait là.
Il n'y avait pas de personnalisation, pas cette empathie qu'on voit maintenant ( les bêtes n'avaient pas de petit noms) Au contraire, aujourd'hui, on montre plus de choses, mais on est plus dans l'intimité des animaux (les moyens technique le permettent) et de fait, ça donne plus d'envie (peut être pas un bien au final)
De plus, la part belle est faite à tous ces animaux"sauvages" (lions, tigres, guépards..................) mais quid de nos animaux qu'on peut observer en France (par exemple) on ne voit pas ou très peu d'images enn dehors des revues très spécialisées. Revues que n'achèteront pas les gens normaux (c'est dit sans arrière pensée) seuls les gens un peu avertis et passionnés vont acheter, Nat Images, et autres revues de ce type.
Alors si on veut dévirtualiser les animaux sauvages, à part les parcs animaliers, je suis désolé, mais il n'y a guère d'autres solutions. Tout le monde ne peut pas s'offrir un voyage en Afrique ou dans les Fjords, et je le regrette au premier chef.
En second lieu, une meilleure représentation de " nos" animaux nationaux dans les livres, reportages fera sans doute un bien fou, pour que les gens prennent conscience de tout ça.
Quant aux cirques, la tendance à supprimer les animaux me réjouit. A part, peut être une ou deux grandes structures qui avaient les moyens, trop de petites entreprises ne traitaient pas leurs animaux comme il le fallait. Il m'arrivait, sans doute comme à beaucoup d'entre vous, de voir ces petits cirques, dans les petites villes ou aux abords de centres commerciaux, avec des animaux an parfois piteux état. Donc ne plus autoriser ça, c'est une bonne chose.
Enfin, c'est mon humble avis, il ne vaut que ce qu'il vaut
