Page FB inaccessible

Démarré par seba, Février 26, 2023, 18:28:53

« précédent - suivant »

Verso92

Citation de: Alain c le Septembre 05, 2024, 10:28:22Point de vue exposition, c'est fiable comme l'histogramme qui s'affiche, à 1/2 diaph prés, si on maitrise bien son boitier (du moins sur les Fuji). Quand on y est habitué, le retour à un reflex est très piégeux  !

En ce qui me concerne, j'ai calé mon process sur la configuration du Picture Control (style d'image chez Nikon) sur "Uniforme" ("flat"). Cela me permet d'avoir des histogrammes aussi proches que possible de ceux que j'obtiendrai en ouvrant le RAW avec Capture One (par exemple).

Alors, bien sûr, l'image de contrôle affichée par l'appareil (l'aperçu Jpeg) est très fade, moche, mais je m'en fout puisque je fais du RAW.

Verso92

Citation de: seba le Septembre 05, 2024, 10:36:50Entièrement couplés = réglages croisés, oui.
Car certains posemètres n'étaient couplés qu'à l'obturateur et on lisait l'ouverture à reporter.
Non couplé c'est par exemple le Zénit avec cellule sélénium.
Semi-automatique était réservé, selon moi (et les brochures de l'époque) aux réglages croisés (posemètre entièrement couplé), semi-automatique voulant dire que le posemètre indiquait l'exposition simultanément aux réglages de l'appareil.

C'étant la sémantique utilisée par CI à l'époque (années 80), il me semble.

egtegt²

Citation de: Verso92 le Septembre 05, 2024, 09:27:15Seule la "matricielle" ("évaluative") débouche sur une évaluation par l'appareil.

Les autres mesures mesurent.
Ce que je veux dire, c'est que si tu fais une mesure pondérée centrale par exemple, l'appareil te donne un résultat sous forme d'exposition à appliquer à ton capteur. Mais cette exposition est une évaluation de l'exposition car la "vraie" exposition nécessiterait deux choses :
- Avoir une mesure exhaustive de la lumière sur toute la scène, ce qui est faisable avec un APN
- Avoir une connaissance de la volonté du photographe quand la scène a une dynamique supérieure à celle du capteur.

Ton exposition faite à partir de la mesure pondérée centrale (ou spot ou directe avec un posemètre) ne sera jamais qu'une valeur approximée à partir d'une moyenne. Elle ne tient pas compte de la dynamique de la scène, de ta volonté de préserver certaines zones de la photo ou d'autres, c'est juste une valeur tirée d'une moyenne.

Si tu utilises un spotmètre, tu vois bien que selon l'endroit où tu le diriges, il te donne une valeur IL très différente. Et tu dois tirer de cette multitude de zones d'exposition différentes une valeur unique à appliquer à ton appareil.

Mais on est d'accord que la plupart du temps, ça donne une exposition parfaitement correcte :)

Peut-être qu'un jour on aura des appareils qui exposeront chaque photosite différemment et seront capables d'une dynamique quasi infinie, pour l'instant ça n'existe pas pour autant que je sache.

Tonton-Bruno

Citation de: egtegt² le Septembre 05, 2024, 11:46:33Peut-être qu'un jour on aura des appareils qui exposeront chaque photosite différemment et seront capables d'une dynamique quasi infinie, pour l'instant ça n'existe pas pour autant que je sache.
Certains boîtiers Panasonic sont décrits comme Dual Gain.
L'amplificateur analogique du capteur effectue une amplification différente selon la tension lue au niveau du photosite. Cela revient à exposer les très hautes lumières à 100 ISO et les ombres profondes à 800 ISO. C'est utilisé en vidéo pour les enregistrements LOG.

Il y a très peu de communication à ce sujet.

Il semblerait que les autres constructeurs aient choisis de continuer à utiliser des amplificateurs simples puis poussent les ombres à 800 ISO au moment de la conversion Analogique/Nunérique.

Je crois que Nikon procède ainsi pour créer des enregistrements vidéo en RAW N-Log. A l'arrivée on doit bien avoir des fichiers RAW mais avec des valeurs trafiquées au moment de la conversion analogique/numérique.

J'ai cherché de la doc à ce sujet, mais je n'ai rien trouvé en-dehors de la doc minimaliste de Nikon.

L'intérêt de l'enregistrement LOG, c'est qu'on pose pour les ombres, comme avec les négatifs argentiques. Les hautes lumières signifiantes sont toujours préservées et on peut les moduler, mais il ne faut pas essayer de déboucher les ombres car ça fait exploser le bruit.

seba

Techniquement, la mesure évaluative (ou matricielle ou multizone), c'est la détermination de l'exposition par l'algorithme de l'appareil d'après les différentes zones de mesure (et parfois aussi d'après la distance de mise au point, les couleurs, le collimateur actif...).

Ca n'a rien à voir avec une exposition évaluée par rapport à une "vraie" exposition.

seba

#1705
Un problème (parmi bien d'autres) avec Nath Sakura, c'est qu'elle a commencé la photo à une époque où les appareils étaient tous multizones.
Les mesures intégrale, centrale pondérée, sélective, etc. faisaient auparavant appel à une cellule constituée d'un unique élément photosensible, et la mesure était proportionnelle à l'éclairement de l'élément photosensible. Rien de plus.
Et bien sûr, pas d'algorithme ou quoi que ce soit pour interpréter la mesure. Tel éclairement = tel courant électrique.
Mais comme elle n'a pas ça en tête, elle s'est imaginé que tous les modes de mesure sont matriciels (et donc évaluatifs). Et elle appelle ça modes de mesure "semi-automatiques".

Verso92

Citation de: egtegt² le Septembre 05, 2024, 11:46:33Ce que je veux dire, c'est que si tu fais une mesure pondérée centrale par exemple, l'appareil te donne un résultat sous forme d'exposition à appliquer à ton capteur. Mais cette exposition est une évaluation de l'exposition car la "vraie" exposition nécessiterait deux choses :
- Avoir une mesure exhaustive de la lumière sur toute la scène, ce qui est faisable avec un APN
- Avoir une connaissance de la volonté du photographe quand la scène a une dynamique supérieure à celle du capteur.

Ton exposition faite à partir de la mesure pondérée centrale (ou spot ou directe avec un posemètre) ne sera jamais qu'une valeur approximée à partir d'une moyenne. Elle ne tient pas compte de la dynamique de la scène, de ta volonté de préserver certaines zones de la photo ou d'autres, c'est juste une valeur tirée d'une moyenne.

Si tu utilises un spotmètre, tu vois bien que selon l'endroit où tu le diriges, il te donne une valeur IL très différente. Et tu dois tirer de cette multitude de zones d'exposition différentes une valeur unique à appliquer à ton appareil.

Mais on est d'accord que la plupart du temps, ça donne une exposition parfaitement correcte :)

Peut-être qu'un jour on aura des appareils qui exposeront chaque photosite différemment et seront capables d'une dynamique quasi infinie, pour l'instant ça n'existe pas pour autant que je sache.

Là, Etienne, tu mélanges un peu tout...

Une cellule* est un élément photosensible qui délivre une tension proportionnelle à la lumière qui l'éclaire. Elle effectue une mesure de la lumière.

Après, au photographe de connaitre les caractéristiques de son "appareil de mesure" (la pondération, notamment, de la zone de mesure), et d'exposer judicieusement son support pour l'exploiter au mieux en fonction de sa finalité.


*aujourd'hui, ce rôle est souvent assuré par le capteur lui-même.

Col Hanzaplast

En 2006 Fuji sort le Fuji S5 Pro équipé d'un double capteur pour encaisser la dynamique d'un film.

Moult explications ici : https://www.dpreview.com/articles/6851251325/fujisuperccdsr
"Le principal n'est pas que la machine fonctionne, c'est que le client croit qu'elle fonctionne."

egtegt²

Citation de: Verso92 le Septembre 05, 2024, 13:09:17Là, Etienne, tu mélanges un peu tout...

Une cellule* est un élément photosensible qui délivre une tension proportionnelle à la lumière qui l'éclaire. Elle effectue une mesure de la lumière.

Après, au photographe de connaitre les caractéristiques de son "appareil de mesure" (la pondération, notamment, de la zone de mesure), et d'exposer judicieusement son support pour l'exploiter au mieux en fonction de sa finalité.


*aujourd'hui, ce rôle est souvent assuré par le capteur lui-même.
Je ne pense que c'est toi qui simplifie. Ton appareil de mesure a une caractéristique unique et simplissime qui est de retourner une valeur correspondant à l'intensité de la lumière qu'il reçoit. Le problème n'est pas là, il est de savoir d'où vient cette lumière.
Tu peux mesurer la lumière qui arrive de la source,
Tu peux mesurer la lumière réfléchie par la scène

Et tu peux faire tout ça en plusieurs points de la scène, de façon très ponctuelle ou en mesurant la valeur moyenne d'une partie ou de toute la scène.

Quoi que tu fasses, tu devras à un moment réunir un ensemble de valeurs de luminosité pour en déduire une valeur unique d'exposition. Quelle que soit la mesure, à un moment il y aura des choix et des calculs à faire, que ces choix aient été faits par le fabricant de l'appareil en amont ou par le photographe en aval.

seba

Citation de: egtegt² le Septembre 05, 2024, 14:09:46Quoi que tu fasses, tu devras à un moment réunir un ensemble de valeurs de luminosité pour en déduire une valeur unique d'exposition. Quelle que soit la mesure, à un moment il y aura des choix et des calculs à faire, que ces choix aient été faits par le fabricant de l'appareil en amont ou par le photographe en aval.

C'est là le malentendu.
Par mesure évaluative on entend uniquement celle du fabricant de l'appareil. C'est le terme consacré.

egtegt²

Citation de: seba le Septembre 05, 2024, 14:30:30C'est là le malentendu.
Par mesure évaluative on entend uniquement celle du fabricant de l'appareil. C'est le terme consacré.

Effectivement, pour moi dès qu'il y a évaluation pour obtenir un résultat, le résultat est évaluatif. Mais c'est pas simple de trouver des termes que tout le monde comprend :)

Le sens de ma remarque était de faire remarquer que dès que je vois une méthode de détermination de l'exposition qui est figée et ne fait appel qu'à des mesures et un calcul simple et direct en fonction de ces mesures, je me méfie, ça peut fonctionner dans des cas particuliers mais il est impossible d'avoir une telle méthode qui fonctionne dans tous les cas.

seba

Citation de: egtegt² le Septembre 05, 2024, 15:03:20Effectivement, pour moi dès qu'il y a évaluation pour obtenir un résultat, le résultat est évaluatif. Mais c'est pas simple de trouver des termes que tout le monde comprend :)

Le sens de ma remarque était de faire remarquer que dès que je vois une méthode de détermination de l'exposition qui est figée et ne fait appel qu'à des mesures et un calcul simple et direct en fonction de ces mesures, je me méfie, ça peut fonctionner dans des cas particuliers mais il est impossible d'avoir une telle méthode qui fonctionne dans tous les cas.

Pour Nath Sakura, c'est l'appareil qui évalue, aussi bien en pondérée centrale qu'en sélective (et parfois aussi en spot, ça dépend des jours).

egtegt²

Citation de: seba le Septembre 05, 2024, 15:08:13Pour Nath Sakura, c'est l'appareil qui évalue, aussi bien en pondérée centrale qu'en sélective (et parfois aussi en spot, ça dépend des jours).
C'est bien ce qui me dérange dans ce que je lis ici de ses élucubrations, visiblement elle part du principe qu'on peut utiliser une méthode systématique et simple en prenant une mesure incidente de la lumière et en se basant sur le résultat donné par la cellule de façon stricte en y ajoutant quelques IL pour optimiser l'ETTR. Or il me semble évident que ça ne peut pas fonctionner en dehors de cas particuliers.
Cela dit elle a trouvé un moyen simple de s'en affranchir : pour elle la Photographie c'est seulement dans le cadre d'un studio avec un éclairage contrôlé, le reste c'est juste de la photocopie. Dans ce cadre, effectivement faire une mesure incidente est applicable.

seba

Je ne critique pas trop sa manière de mesurer et d'exposer en lumière incidente (on trouve à boire et à manger dans ce domaine).
Par contre en lumière réfléchie, elle a des idées tellement fausses sur les modes de mesure (et sur l'hypothèse à la base de la calibration des posemètres) qu'elle préconise des méthodes de mesure délirantes.

Alain c

Matérialiser l'immatériel

Alain c

Il pleut, du temps à perdre, je me suis amusé à faire le test proposé par cette Nath pour connaitre mon véritable niveau en photographie.
Il y a des réponses que je ne comprend pas:
 - Pourquoi la longueur focale  est: " la distance focale image "?
 - En argentique , la sensibilité se règle  ... en changeant de pellicule et non pas en changeant un paramètre sur son boitier.
En RAW 14 bits; Pourquoi il n'y a que 512 niveaux de couleurs RVB dans "les tres basses lumières" ?
Et 8 192 niveaux des couleurs par couches RVB dans les tres hautes lumières , toujours en 14 bits ?
Je ne  partage pas cette affirmation : Il est faux de dire que:  "plus il y a de pixels sur un capteur plus la photo est qualitative" Si c'est vrai pourquoi il n'y a plus d'APN  avec un capteur à 8 millions de pixels ?

Il y a d'autres questions curieuse, je vous laisse aller vous tester.

Matérialiser l'immatériel

Verso92

Citation de: egtegt² le Septembre 05, 2024, 14:09:46Je ne pense que c'est toi qui simplifie. Ton appareil de mesure a une caractéristique unique et simplissime qui est de retourner une valeur correspondant à l'intensité de la lumière qu'il reçoit. Le problème n'est pas là, il est de savoir d'où vient cette lumière.
Tu peux mesurer la lumière qui arrive de la source,
Tu peux mesurer la lumière réfléchie par la scène

Et tu peux faire tout ça en plusieurs points de la scène, de façon très ponctuelle ou en mesurant la valeur moyenne d'une partie ou de toute la scène.

Quoi que tu fasses, tu devras à un moment réunir un ensemble de valeurs de luminosité pour en déduire une valeur unique d'exposition. Quelle que soit la mesure, à un moment il y aura des choix et des calculs à faire, que ces choix aient été faits par le fabricant de l'appareil en amont ou par le photographe en aval.

Comme déjà évoqué, il n'y a pas d'évaluation (dans le sens commun de ce terme), mais seulement une mesure (sauf en mesure évaluative/matricielle).


Le plus simple est de prendre la mesure spot (en réfléchie). Tu fais ta mesure sur une zone à 18%, et tu seras automatiquement bien exposé (dans le sens "bonne exposition" pour de la diapo, ce qui ne signifiera pas pour autant que l'image sera satisfaisante en terme d'exposition).

Je me rappelle encore de la seule fois où j'ai planté une photo en exposition avec l'OM-4 : c'était un lever de soleil dans le brouillard à Conques (village médiéval dans l'Aveyron). J'ai fait le mesure (spot) sur la petit chapelle au premier plan, et au loin les clochers de l'abbatiale Sainte-Foy émergeaient du brouillard. Quand j'ai reçu les diapos du labo, la petite chapelle était bien exposée, mais le reste de la diapo était cramé, et on ne distinguait pas l'abbaye. La dynamique de la scène était tellement importante qu'il aurait fallu faire la mesure sur la zone significative la plus lumineuse de l'image, faire "Hi-Light" (ou +2 IL). La chapelle au premier plan aurait été sous-exposée, mais c'était le seul choix photographique valable, en l'occurrence.

Quand la dynamique de la scène dépasse la dynamique de l'imageur (pellicule/capteur), il faut bien sûr faire des choix...

Verso92

Citation de: Alain c le Septembre 05, 2024, 18:00:24Il pleut, du temps à perdre, je me suis amusé à faire le test proposé par cette Nath pour connaitre mon véritable niveau en photographie.
Il y a des réponses que je ne comprend pas:
 - Pourquoi la longueur focale  est: " la distance focale image "?

Là, pas compris non plus...

Citation de: Alain c le Septembre 05, 2024, 18:00:24- En argentique , la sensibilité se règle  ... en changeant de pellicule et non pas en changeant un paramètre sur son boitier.

Je conseille quand même d'afficher sur le boitier une sensibilité en accord avec celle de la pellicule (ou alors, 2 stops plus élevée si on veut pousser le film, etc), sous peine de cruelles désillusion au retour du labo...

Citation de: Alain c le Septembre 05, 2024, 18:00:24En RAW 14 bits; Pourquoi il n'y a que 512 niveaux de couleurs RVB dans "les tres basses lumières" ?
Et 8 192 niveaux des couleurs par couches RVB dans les tres hautes lumières , toujours en 14 bits ?

Sur 14 bits, l'IL le plus haut est codé à la louche sur la moitié de la quantification, soit environ la moitié des 16 384 pas possibles en 14 bits (2^14), puisque la capture est linéaire. Après, c'est un raccourci théorique (approximatif) dont l'intérêt n'est pas fondamental, non plus.

Pour les 512 niveaux, tout dépend de quelles BL on parle...

Citation de: Alain c le Septembre 05, 2024, 18:00:24Je ne  partage pas cette affirmation : Il est faux de dire que:  "plus il y a de pixels sur un capteur plus la photo est qualitative" Si c'est vrai pourquoi il n'y a plus d'APN  avec un capteur à 8 millions de pixels ?

D'abord, "qualitative" n'est pas le terme adapté...

Sinon, plus le nombre de pixels est élevé (sur un appareil qualitatif --> ;-), plus l'image aura des chances d'être d'une qualité plus élevée (à condition que le reste de la chaine suive, notamment l'objectif). Avec comme seul bémol, je pense, les résultats en (très) basse lumière ?



Alain c

CitationCitation de: Alain c le Aujourd'hui à 18:00:24
    Je ne  partage pas cette affirmation : Il est faux de dire que:  "plus il y a de pixels sur un capteur plus la photo est qualitative" Si c'est vrai pourquoi il n'y a plus d'APN  avec un capteur à 8 millions de pixels ?


D'abord, "qualitative" n'est pas le terme adapté...

Sinon, plus le nombre de pixels est élevé (sur un appareil qualitatif -->  ;-), plus l'image aura des chances d'être d'une qualité plus élevée (à condition que le reste de la chaine suive, notamment l'objectif). Avec comme seul bémol, je pense, les résultats en (très) basse lumière ?
L'explication qu'elle donne est que:" C'est la taille des photosites qui compte", Techniquement elle est visiblement restée coincée au début du siècle, elle oublie  le rôle du processeur  et les progrès des capteurs depuis 20 ans ...
Matérialiser l'immatériel

Verso92

#1719
Citation de: Alain c le Septembre 05, 2024, 19:07:34L'explication qu'elle donne est que:" C'est la taille des photosites qui compte", Techniquement elle est visiblement restée coincée au début du siècle, elle oublie  le rôle du processeur  et les progrès des capteurs depuis 20 ans ...

Déjà, elle part du principe que sur un Bayer, il y a quatre photosites par pixels, ce qui n'est pas le cas (un pixel = 1 photosite). Le reste du raisonnement est forcément faux.


Comme évoqué précédemment, le seul cas où un nombre plus faible de pixels peut favoriser une meilleure qualité d'image, c'est en (très) hauts ISO. Il faudrait faire la comparaison en analysant, par exemple sur DxOMark, les perfs aux mesures des Sony Alpha 7, 7r et 7c de même génération, puisque Sony décline cette gamme en trois définitions différentes...

Alain c

Celle ci est pas mal non plus:  un 200mm produits  un angle de champs plus grand sur un aps-c que sur un plein format . :o
Matérialiser l'immatériel

Verso92

Citation de: Alain c le Septembre 05, 2024, 19:13:04Celle ci est pas mal non plus:  un 200mm produits  un angle de champs plus grand sur un aps-c que sur un plein format . :o

Là, c'est peut-être une coquille...

Alain c

Citation de: Verso92 le Septembre 05, 2024, 19:12:43Déjà, elle part du principe que sur un Bayer, il y a quatre photosites par pixels, ce qui n'est pas le cas (un pixel = 1 photosite). Le reste du raisonnement est forcément faux.


Comme évoqué précédemment, le seul cas où un nombre plus faible de pixels peut favoriser une meilleure qualité d'image, c'est en (très) hauts ISO. Il faudrait faire la comparaison en analysant, par exemple sur DxOMark, les perfs aux mesures des Sony Alpha 7, 7r et 7c de même génération, puisque Sony décline cette gamme en trois définitions différentes...
Il est très réducteur et bien peu pédagogue de dire  s'il y a moins de pixels sur un capteur, l'image est plus qualitative car ce qui compte c'est la taille des photosites .
Si tu lis les tests (sérieux), , la qualité entre un 26 MP et un 40 MP par exemple, ne baisse pas avant 6500 ISO en moyenne.
Matérialiser l'immatériel

Verso92

#1723
Citation de: Alain c le Septembre 05, 2024, 19:29:28Il est très réducteur et bien peu pédagogue de dire  s'il y a moins de pixels sur un capteur, l'image est plus qualitative car ce qui compte c'est la taille des photosites .
Si tu lis les tests (sérieux), , la qualité entre un 26 MP et un 40 MP par exemple, ne baisse pas avant 6500 ISO en moyenne.

Si on s'amuse bien sur ce fil, c'est à cause du florilège NS...


Par curiosité, j'ai comparé les Alpha 7rIII, 7III et 7sIII sous DxOMark :

(le moins qu'on puisse dire, c'est que la supériorité du 7sIII en hauts ISO sur les versions plus définies n'a rien d'évident...)

Verso92

D'ailleurs, même constat si on analyse les scores "Sports", censés refléter les perfs des APN en basses lumières :