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Démarré par seba, Février 26, 2023, 18:28:53

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Tonton-Bruno


dioptre

Citation de: Tonton-Bruno le Avril 01, 2025, 11:09:52Toujours aussi impressionné par la pertinence de ChatGPT !

Je viens de lui poser une question qui me taraudait depuis des années et le LLM m'a donné une réponse très satisfaisante.
Je n'avais pas réfléchi au fait qu'il fallait distinguer l'année solaire et l'année civile, cette dernière ayant pris de l'avance, puisqu'elle ne comportait que 365 jours au lieu de 365,25.


pour qui s'intéresse un peu à la question réponse facile à trouver dans les revues ou les livres... et même (si tu connais un peu) sur internet. Et mieux que ce charabia sans queue ni tête  de l'Intelligence (sic) artificielle !
un exemple trouvé en 2 mn :

Avant l'adoption du calendrier grégorien, la nouvelle année était souvent célébrée à la fin mars ou au tout début avril, c'est-à-dire au printemps. C'était une période propice : les beaux jours revenaient, la nature renaissait... Bref, une saison idéale pour commencer une année !

Mais en 1564, le roi de France, Charles IX, décide d'uniformiser tout cela. Par l'édit de Roussillon, il déclare que le premier jour de l'année sera désormais le 1ᵉʳ janvier. Problème : l'information circule lentement, et certains continuent à fêter le nouvel an fin mars ou le 1ᵉʳ avril. Pour se moquer d'eux, on leur offre de faux cadeaux, on leur fait croire à de fausses nouvelles... Et la tradition du 1ᵉʳ avril est née.

https://www.nationalgeographic.fr/histoire/culture-generale-calendrier-dans-antiquite-lannee-calendaire-commencait-en-mars

Tonton-Bruno

Citation de: dioptre le Avril 02, 2025, 08:17:38pour qui s'intéresse un peu à la question réponse facile à trouver dans les revues ou les livres... et même (si tu connais un peu) sur internet. Et mieux que ce charabia sans queue ni tête  de l'Intelligence (sic) artificielle !
un exemple trouvé en 2 mn :

Avant l'adoption du calendrier grégorien, la nouvelle année était souvent célébrée à la fin mars ou au tout début avril, c'est-à-dire au printemps. C'était une période propice : les beaux jours revenaient, la nature renaissait... Bref, une saison idéale pour commencer une année !

Mais en 1564, le roi de France, Charles IX, décide d'uniformiser tout cela. Par l'édit de Roussillon, il déclare que le premier jour de l'année sera désormais le 1ᵉʳ janvier. Problème : l'information circule lentement, et certains continuent à fêter le nouvel an fin mars ou le 1ᵉʳ avril. Pour se moquer d'eux, on leur offre de faux cadeaux, on leur fait croire à de fausses nouvelles... Et la tradition du 1ᵉʳ avril est née.

https://www.nationalgeographic.fr/histoire/culture-generale-calendrier-dans-antiquite-lannee-calendaire-commencait-en-mars

Cela bien entendu je le savais depuis 50 ou 60 ans.

Ma question était de comprendre pourquoi sur le tympan des églises romanes l'année commence presque toujours avec le mois de janvier et pas le mois de mars ou avril.

Cela fait 50 ou 60 ans que je sais qu'à cause de l'imprécision du calendrier julien, autour de l'An Mil, le solstice d'hiver ne se produisait plus fin décembre mais fin février, et mi-mars vers 1215, date présumée de la construction du portail nord de Chartres.

Les signes du zodiaque (constellation dans laquelle se lève le soleil) jouaient un rôle primordial dans l'agriculture. comment concilier le fait que le soleil se levait dans la constellation des Gémeaux au mois de juin sur le tympan des cathédrales, alors qu'il suffisait de lever le nez pour constater qu'il se levait dans celle du Sagittaire?

ChatGPT m'a fourni la réponse.

egtegt²

Citation de: Tonton-Bruno le Avril 01, 2025, 14:41:38[...]
Pour la musique, les choses sont un peu différentes, car on considérait jusqu'à la Renaissance que la musique relevait des mathématiques.
On explique beaucoup de choses en musique par les mathématiques, je n'irais pas jusqu'à dire que la musique relève des mathématiques mais elles jouent un rôle important dans la musique.

Verso92

Citation de: egtegt² le Avril 02, 2025, 11:25:58On explique beaucoup de choses en musique par les mathématiques, je n'irais pas jusqu'à dire que la musique relève des mathématiques mais elles jouent un rôle important dans la musique.

Jean-Sébastien, sors de ce corps !

;-)

Tonton-Bruno

Citation de: egtegt² le Avril 02, 2025, 11:25:58On explique beaucoup de choses en musique par les mathématiques, je n'irais pas jusqu'à dire que la musique relève des mathématiques mais elles jouent un rôle important dans la musique.
Je parlais de la façon dont les mathématiques étaient perçues au Moyen-Age et à la Renaissance.

Au Moyen-Age, les études secondaires, réservées aux religieux, comportaient 4 disciplines "scientifiques"; Arithmétique, géométrie, astronomie et musique.

Ce n'était pas des arts d'agrément, mais les connaissances de base nécessaires avant d'aborder la philosophie et la théologie.

On retrouve le trivium et le quadrivium sur le portail de la cathédrale de Chartres, une des "écoles" (ancêtres de nos universités) les plus célèbres de la chrétienté des onzième-douzième siècles.

voxpopuli

je trouve toujours intéressant de titiller l'IA sur la première réponse donnée. J'ai repris ta question qui a amené la même réponse, puis j'ai enchainé :

je ne suis pas sûr de tes réponses. Peux-tu regarder à nouveau
ChatGPT a dit :

Tu as raison d'être sceptique, creusons davantage la question !

Les calendriers zodiacaux présents dans les églises médiévales débutent souvent en janvier, malgré le fait qu'en France, avant 1564, l'année civile débutait en avril. Pourquoi ?

1. L'Influence du Calendrier Romain
L'usage de janvier comme début d'année remonte à la réforme du calendrier par Jules César en 46 av. J.-C. Dans le calendrier julien, l'année commençait officiellement le 1er janvier. Ce système a continué à être utilisé dans certains contextes, notamment pour l'administration et les calendriers liturgiques.

2. Un Zodiaque Basé sur le Cycle des Mois et des Saisons
Les zodiaques médiévaux trouvés dans les églises sont généralement des représentations des mois de l'année associés aux signes astrologiques. Ces représentations suivent un ordre naturel calqué sur le cycle des saisons et de l'agriculture, qui commence en hiver avec les premiers préparatifs pour l'année à venir.

3. Un Usage Différent du Début d'Année Selon le Contexte
Dans la France médiévale, plusieurs débuts d'année coexistaient :

    L'année civile et administrative pouvait commencer en avril (souvent à Pâques) selon les régions.

    L'année liturgique débutait en décembre, avec l'Avent.

    L'année zodiacale et astronomique suivait le calendrier solaire et commençait naturellement en janvier.

Ainsi, le zodiaque des églises ne reflète pas forcément l'année administrative, mais plutôt un cycle naturel et universel lié aux saisons et à l'astrologie.

4. L'Importance des Travaux Agricoles
Les représentations des mois dans les églises médiévales sont souvent accompagnées de scènes de travaux agricoles correspondant à chaque période de l'année. Or, en janvier, on trouvait déjà des activités comme la taille des arbres et la préparation des semences, ce qui correspondait à un cycle logique du temps.

Conclusion
Les zodiaques sculptés dans les églises médiévales ne suivent pas l'année civile imposée par les rois ou les autorités locales, mais plutôt une vision astronomique et saisonnière du temps. Ils débutent en janvier car ce mois marque le retour progressif de la lumière après le solstice d'hiver, un moment clé dans le cycle annuel.
Ça va rester chaud

dioptre

Citation de: voxpopuli le Avril 02, 2025, 13:27:31je trouve toujours intéressant de titiller l'IA sur la première réponse donnée. J'ai repris ta question qui a amené la même réponse, puis j'ai enchainé :

je ne suis pas sûr de tes réponses. Peux-tu regarder à nouveau
ChatGPT a dit :

Tu as raison d'être sceptique, creusons davantage la question !

.....
rien de concret
uniquement des généralités .... générales
en fait ce que je retiens, c'est que ce dont nous avons l'habitude (début d"année au 1er janvier) est ...habituel et donc ... naturel

egtegt²

Citation de: Verso92 le Avril 02, 2025, 13:06:30Jean-Sébastien, sors de ce corps !

;-)
En fait je ne pensais pas vraiment à lui, Pythagore est connu pour s'être intéressé de près à la musique, Galilée aussi me semble-t-il, ou encore Kepler, Euler ou Lagrange. Par exemple la gamme que nous connaissons tous est très facile à expliquer mathématiquement et physiquement. Ca n'est pas pour rien que la quinte est la base de la musique occidentale.

Jean-Claude

Citation de: Tonton-Bruno le Mars 26, 2025, 09:40:13Oui, c'est ça, l'info de distance transmise par l'objectif n'est là que pour vérifier que le résultat du calcul n'est pas aberrant, et limiter les déghâts le cas échéant.

A ce propos, à faible distance, avec le Nikon D100 en 2003, il m'arrivait d'avoir pas mal de fromages blancs. 5 ans plus tard avec le D3, cela se produisait beaucoup moins, et depuis 2020 avec les Z il me semble que c'est rarissime.

Je dis "il me semble" car en fait je n'utilise quasiment plus le flash cobra en fill-in pour mes photos depuis environ dix ans, car la technique du fill-in n'a plus beaucoup d'intérêt. On remonte très facilement les ombres d'un visage sous-ex au développement du RAW.

D'après mes archives, la dernière fois que j'ai utilisé le fill-in au flash, c'était en 2011 à Vienne, et c'était juste dans un but pédagogique, pour montrer ce qu'on peut obtenir avec le flash intégré du D90, en y passant un peu de temps.
Le D100 fonctionnait avec le premier système flash pour numériques D-TTL qui marchait pas trop bien

Le D3 avait le système actuel i-TTL qui a donne des résultats impressionnants

Tonton-Bruno

J'ai demandé à Grok un résumé détaillé et j'ai obtenu ça.
CitationPouvez-vous me faire un historique détaillé de la mesure TTL au flsh de Nikon ?
pages web

Bien sûr ! Voici un historique détaillé de l'évolution de la mesure TTL (Through-The-Lens, ou "à travers l'objectif") au flash chez Nikon, en retraçant les grandes étapes et innovations qui ont marqué cette technologie.
Les débuts : avant la mesure TTL

Avant l'introduction de la mesure TTL, les photographes utilisaient des flashs manuels ou des systèmes automatiques basés sur des capteurs intégrés au flash lui-même (mode "Auto"). Ces systèmes mesuraient la lumière réfléchie par le sujet, mais sans passer par l'objectif de l'appareil, ce qui limitait leur précision, notamment en tenant compte des filtres ou des variations de cadrage. Nikon, comme d'autres fabricants, cherchait à améliorer cette technologie pour offrir une exposition plus fiable et automatisée.
1960-1970 : Les prémices de la mesure TTL

La mesure TTL pour la lumière ambiante apparaît d'abord dans les années 1960. Nikon joue un rôle pionnier avec le prototype SPX, un appareil télémétrique présenté en 1959, qui intègre une mesure TTL rudimentaire. Cependant, cette technologie est encore limitée à la lumière continue et ne s'applique pas encore aux flashs. C'est Topcon qui lance le premier reflex à mesure TTL en 1963 avec le RE Super, mais là encore, il s'agit de lumière ambiante, pas de flash.

Pour le flash, la vraie révolution TTL commence dans les années 1970, portée par Olympus avec l'OM-2 (1975). Cet appareil introduit une mesure TTL en temps réel pour le flash (OTF, Off-The-Film), où la lumière réfléchie par la pellicule pendant l'exposition est mesurée pour ajuster la puissance du flash. Nikon observe ces avancées et commence à développer sa propre approche.
1980 : Nikon entre dans l'ère TTL au flash

Nikon introduit officiellement la mesure TTL pour le flash avec le Nikon F3 en 1980. Ce reflex haut de gamme est équipé d'un système TTL qui mesure la lumière du flash réfléchie par la pellicule via une cellule placée au bas de la chambre du miroir. Le F3 est compatible avec des flashs comme le SB-10, et cette technologie marque un tournant : l'appareil coupe automatiquement l'émission du flash lorsque l'exposition correcte est atteinte. Cela offre une précision inédite par rapport aux flashs manuels ou automatiques traditionnels, surtout dans des conditions variables.
Années 1980-1990 : Développement et démocratisation

Durant les années 1980, Nikon peaufine son système TTL avec des modèles comme le Nikon F-801 (1988) et des flashs comme le SB-24. La mesure TTL devient plus sophistiquée, intégrant des pré-éclairs (ou "pré-flash") dans certains cas pour évaluer la scène avant l'exposition. Cependant, cette approche reste limitée aux reflex argentiques, où la mesure OTF sur la pellicule est la norme.

Avec l'arrivée des reflex plus accessibles comme le Nikon F-601 (1990), la mesure TTL au flash se démocratise. Les flashs comme le SB-25 (1992) introduisent des fonctionnalités avancées, comme la synchronisation à haute vitesse (FP) et le mode TTL automatique, qui ajuste la puissance en fonction de la distance et de la réflexion.
Années 1990 : Transition vers le numérique

À la fin des années 1990, l'émergence des reflex numériques pose un défi : la mesure OTF sur pellicule n'est plus possible avec un capteur numérique. Nikon adapte alors sa technologie. Le Nikon D1 (1999), premier reflex numérique professionnel de la marque, introduit le système D-TTL (Digital TTL). Ce système utilise des pré-éclairs émis avant l'ouverture de l'obturateur, mesurés par les cellules situées dans le viseur (et non sur le capteur), pour calculer la puissance nécessaire. Bien que fonctionnel, le D-TTL est critiqué pour son manque de précision dans certaines situations, notamment avec des sujets complexes ou des arrière-plans lumineux.
2003 : L'avènement de l'i-TTL

En 2003, Nikon révolutionne la mesure TTL au flash avec l'introduction de l'i-TTL (Intelligent TTL) sur le Nikon D2H. Ce système, encore utilisé aujourd'hui, repose sur une communication avancée entre le boîtier et les flashs compatibles (comme le SB-800). Voici ses caractéristiques clés :

    Pré-éclairs pilotes : Une série de faibles éclairs est émise avant l'exposition principale pour analyser la scène.
    Mesure matricielle : Les données des pré-éclairs sont combinées avec la mesure matricielle RVB du boîtier (via un capteur dédié, comme les 1005 photosites du D2H, ou les 180 000 photosites des modèles récents comme le Z8).
    Deux modes :
        i-TTL Standard : Priorité à l'exposition correcte du sujet, sans tenir compte de l'arrière-plan.
        i-TTL BL (Balanced Light) : Équilibre entre le sujet éclairé par le flash et la lumière ambiante de l'arrière-plan.
    Intégration des données de distance : Avec les objectifs de type D, G ou E, l'i-TTL prend en compte la distance au sujet pour affiner l'exposition.

L'i-TTL devient la norme pour tous les reflex numériques Nikon et s'étend aux hybrides comme la série Z.
Années 2000-2010 : Le Creative Lighting System (CLS)

Parallèlement à l'i-TTL, Nikon lance le Creative Lighting System (CLS) en 2004 avec le SB-800. Ce système permet de contrôler sans fil plusieurs flashs déportés via des signaux optiques infrarouges, avec une mesure TTL complète. Des flashs comme le SB-600 et le SB-900 (2008) enrichissent le CLS, offrant des options comme le contrôle de groupes de flashs et la synchronisation ultra-rapide (Auto FP).

En 2016, Nikon introduit une variante radio avec le SB-5000 et l'émetteur WR-R10, répondant aux limites de la portée optique (10 m) et des obstacles physiques, tout en conservant la compatibilité i-TTL.
Aujourd'hui : i-TTL et hybrides

Avec les hybrides Nikon Z (comme le Z6 et le Z8), l'i-TTL reste au cœur de la mesure au flash. Les capteurs RVB plus avancés (jusqu'à 493 000 photosites sur le Z8) et l'intelligence artificielle intégrée aux boîtiers modernes améliorent encore la précision, notamment pour les sujets en mouvement ou les scènes à forte dynamique. Les flashs actuels, comme le SB-5000, intègrent des fonctionnalités avancées (refroidissement actif, zoom motorisé) tout en restant fidèles au principe i-TTL.
Conclusion

La mesure TTL au flash chez Nikon a évolué d'une technologie argentique OTF (F3, 1980) à un système numérique intelligent (i-TTL, 2003) intégré au CLS. Chaque étape a répondu aux besoins des photographes, passant d'une automatisation basique à une précision adaptée aux exigences du numérique et des hybrides. Aujourd'hui, l'i-TTL est une référence pour sa fiabilité et sa flexibilité, que ce soit en studio ou en reportage.

Si vous souhaitez des détails sur un modèle ou une période spécifique, n'hésitez pas à me le demander !
Comment Grok peut-il aider ?

Je n'ai eu mon premier Nikon qu'en 1999 et je ne me suis jamais intéressé à l'histoire de Nikon, n'ayant pas l'esprit collectionneur.
Je suppose néanmoins que ce résumé est exact?

Verso92

Citation de: Tonton-Bruno le Avril 05, 2025, 14:28:59J'ai demandé à Grok un résumé détaillé et j'ai obtenu ça.
Je n'ai eu mon premier Nikon qu'en 1999 et je ne me suis jamais intéressé à l'histoire de Nikon, n'ayant pas l'esprit collectionneur.
Je suppose néanmoins que ce résumé est exact?

Non, pas particulièrement...

Tonton-Bruno

#2087
Comme je trouve que Grok est bien renseigné et fait de bonnes synthèses, je lui ai demandé ce matin des tableaux synthétiques.

Je pars du principe que Nikon a depuis toujours une approche top-down, et que les innovations technologiques importantes apparaissent presque toujours d'abord sur les boîtiers à un chiffre.

Je vous épargne les détails, car pour chaque boîtier, Grok a tartiné sur le module flash !

Perso j'ai eu successivement les flashs suivants:

SB-24 ou 25, acheté d'occasion avant l'an 2000
SB-28-DX acheté en 2003 ou 2004
SB-600 acheté en 2006
SB-900 acheté en 2008 que j'ai encore et toujours opérationnel
2 Godox V1 achetés l'an dernier

seba

#2088
A propos de la lumière indirecte, on voit très bien son effet dans cette vidéo.
Nath Sakura utilise un flash sans modeleur placé à 9 mètres du sujet. L'ombre n'est pas noire du tout.
La source à grande distance, la proportion lumière indirecte/lumière directe est importante.
Si elle avait utilisé une BAL, ça aurait été encore pire car la lumière diffusée par la BAL inonderait tout le studio (qui est peint entièrement en blanc).

seba

Toujours dans cette vidéo, à présent la source est très proche du sujet.
La lumière y est décrite comme douce et très contrastée ce qui a priori est contradictoire.

seba

La comparaison entre les deux images est instructive. Dans les deux cas la lumière directe est rasante sur la joue.
A droite on voit que les cheveux à l'arrière ne sont pas éclairés du tout par la lumière directe, à gauche non plus mais bien éclairés par la lumière indirecte. Et donc même chose pour la joue.
Dans tous ses bouquins, NS explique que la lumière dure est peu contrastée et que la lumière douce est contrastée, ce qui n'a aucun sens. En réalité ses démos sont complètement biaisées par la lumière indirecte.

seba

Un SF sur Hasselblad.
On y apprend quelques curiosités.
Pour les mission lunaires, l'appareil photo devait être capable de travailler dans une atmosphère ne comprenant ni vapeur d'eau ni gaz carboniques qui sont des éléments importants pour les pellicules
Alors je suppose qu'elle parle de l'atmosphère dans les véhicules spatiaux, cela dit je ne crois pas que les éléments cités sont importants pour les pellicules.
Il fallait aussi un appareil photo capable de travailler dans une lumière solaire extrêmement dure. Je ne vois pas ce qui pourrait différencier Hasselblad d'un autre appareil photo sur ce point.
En outre, l'appareil photo aurait pu être déformé par la modification du champ gravitationnel.
Mais le plus curieux, c'est cette image censée représenter l'image iconique de la Terre vue de la Lune. Il s'agit en fait d'un mauvais montage (l'éclairage n'est pas cohérent, les traces de pas sont rajoutées, et sur ce genre de photos on ne voit pas d'étoiles).

gemphoto

#2092
Avis aux détracteurs de Nath-Sakura: si j'en crois la page 10 du numéro 466 de CI elle sera présente le 10 mai Guilhrand-Granges (07). Ils pourront exprimer de vive voix les critiques qu'ils déversent sur ce fil depuis plus de deux ans.
Je précise que je ne connais pas cette personne.

seba

Citation de: gemphoto le Avril 25, 2025, 22:10:49Avis aux détracteurs de Nath-Sakura: si j'en crois la page 10 du numéro 466 de CI elle sera présente le 10 mai Guilhrand-Granges (07). Ils pourront exprimer de vive voix les critiques qu'ils déversent sur ce fil depuis plus de deux ans.
Je précise que je ne connais pas cette personne.

Ah ce serait mieux pour moi si elle venait en Alsace.
Détracteur : personne qui cherche à rabaisser le mérite, la valeur, de quelqu'un ou quelque chose.
Dans ce fil, rien de tel. Uniquement des critiques constructives.

Verso92

Citation de: gemphoto le Avril 25, 2025, 22:10:49Avis aux détracteurs de Nath-Sakura: si j'en crois la page 10 du numéro 466 de CI elle sera présente le 10 mai Guilhrand-Granges (07). Ils pourront exprimer de vive voix les critiques qu'ils déversent sur ce fil depuis plus de deux ans.
Je précise que je ne connais pas cette personne.

Il faudrait y inviter aussi tous ses collègues qu'elles dézingue à qui mieux mieux dans ses vidéos...  ;-)

agl33

Citation de: gemphoto le Avril 25, 2025, 22:10:49Avis aux détracteurs de Nath-Sakura: si j'en crois la page 10 du numéro 466 de CI elle sera présente le 10 mai Guilhrand-Granges (07). Ils pourront exprimer de vive voix les critiques qu'ils déversent sur ce fil depuis plus de deux ans.
Je précise que je ne connais pas cette personne.

Pas sur qu'ils aient les cojones pour le lui dire en face, c'est plus courageux derrière l'écran.   ;) 

agl33

Citation de: Verso92 le Avril 26, 2025, 10:23:34Il faudrait y inviter aussi tous ses collègues qu'elles dézingue à qui mieux mieux dans ses vidéos...  ;-)

Rhôôô.....

seba

Citation de: agl33 le Avril 26, 2025, 11:40:21Pas sur qu'ils aient les cojones pour le lui dire en face, c'est plus courageux derrière l'écran.  ;) 

Ouh là ! Je ne sais pas combien de fois je lui ai écrit en particulier pour prendre contact.
Pour tout dire, dernièrement je lui ai envoyé par courrier une doc Canon sur les flashes TTL suite à ses explications farfelues, avec mes coordonnées.
Retour : rien, zéro, nada.
Elle n'aime que se faire encenser et ignore complètement les rectificatifs et les critiques.
Elle a mes coordonnées et peut me contacter quand elle veut.
Pour ma part, je serai ravi de la rencontrer.

agl33

Comme je la comprends au vu de la nature de vos interventions avec V92 j'aurais fait de même, mais auriez vous le même ton avec la personne en face de vous.  ::)

seba

Citation de: agl33 le Avril 26, 2025, 12:10:18Comme je la comprends au vu de la nature de vos interventions avec V92 j'aurais fait de même, mais auriez vous le même ton avec la personne en face de vous.  ::)

Ben je suppose qu'elle ne connaît pas ce fil.